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Dans les débats sur la cigarette électronique, un toubib s’est clairement fait un nom : il s’agit du professeur Farsalinos. Sur une web radio, il vient de refroidir pas mal de monde sur une pratique assez courante, notamment dans l’univers du reconstructible. Cette pratique, c’est celle du Dry Burn qui consiste à chauffer, même plus, faire rougeoyer le coil afin de le débarrasser de ses impuretés. Oui mais voilà nous dit-il, en faisant cela, on casse le liant des molécules du métal. Ça semble d’ailleurs assez logique dans la mesure où on profite de cet état rougeoyant pour resserrer les spires qui composent le coil. Et en cassant le liant des molécules, on accroit l’émission des molécules de métal lors des vapes suivantes. Il suffit d’ailleurs d’une seule fois.

Alors, que faut-il faire ? Changer de coil à chaque fois ? Non, explique Farsalinos. Pour les nettoyages, allez-y simplement avec de l’eau, ou de l’alcool et même de l’acétone. Il faut par la suite rincer à l’eau.

Farsalinos vient de publier une étude disponible ici (le PDF est téléchargeable). C’est évidemment très documenté et sérieux, contrairement aux dernières études alarmistes et sans fondement dont nous avons parlé dans nos pages qui avaient pour seul but de décrédibiliser la cigarette électronique.

Mr E-cigarette

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